La
nymphomanie au XIXème
sciècle était une maladie mortelle ... Le terme de nymphomane de nos jours est utilisé de façon péjorative envers des femmes qui, pour satisfaire leurs besoins permanents de sexe, multiplient les
rencontres occasionnelles aboutissants à des rapports sexuels ...
Le point sur cette notion aux racines plus morales que médicales.
La nymphomanie est définie comme
l'exagération pathologique des désirs sexuels chez la femme et une nymphomane serait par extension une femme trop désirante selon le Petit Robert ...
Une définition médicale présente la nymphomanie comme une affection psychologique qui atteint les femmes et qui se traduit par une compulsion à avoir le plus de rapports sexuels possible
...
A noter qu'un homme qui a en permanence envie de sauter sur tout ce qui bouge est simplement étiqueté comme "un chaud lapin" ... Vas comprendre la différence ? ...
Mais il y a celles qui ont envie de sexe, de plaisirs et d'orgasmes et celles qui se font grimper pour faire plaisir ...
Une jeune femme de 18 ans qui parle de sexe, de bite, de baise de "se faire défoncer comme une bête"...
En fait elle est paumée, ne parle que de faire plaisir à "l'autre" ... Elle aime ou elle aime pas ... Peut importe pour elle le plus important c'est "qu'il ait ce qu'il veut"
...
Un exemple parfait du fait que la femme n'a pas su utiliser la libération sexuelle de la fin des années 60 ... Ce n'est en aucun cas une nymphomane
...
Alors que le phénomène a longtemps fait l'objet de vives controverses, il semble aujourd'hui admis que certaines femmes éjaculent au moment de
l'orgasme. On leur a même donné un nom : les femmes fontaines.
Réaction souvent déroutante pour elles comme pour leurs partenaires, l'orgasme s'accompagne chez certaines femmes de l'émission d'un liquide. Mais d'où vient cette substance ?
En 1950, Ernest Gräfenberg décrit une zone anatomique située sur la face antérieure du vagin : c'est le fameux
point G. Selon lui, c'est cette zone qui gonfle et produit un liquide lors de l'orgasme. Mais des travaux plus récents
permettent de mieux comprendre ce phénomène. Pour le Docteur Zaviacic qui étudie
cette question depuis de nombreuses années, les femmes auraient une prostate. Ce chercheur a en effet démontré que les tissus des petites glandes qui se trouvent entre le vagin et l'urètre et
autour de l'urètre (appellées les glandes de Skène ou glandes para-urétrales) étaient similaires à ceux de la prostate de l'homme. Et qu'ils produisaient comme chez l'homme, une substance
fabriquée naturellement par la prostate un antigène prostatique spécifique autrement appelé PSA. Devant tant de similitudes, le Docteur Zaviacic propose de rebaptiser les glandes de Skène :
prostate féminine. Cette prostate féminine correspond anatomiquement au point G.
Le problème de l'éjaculat féminin n'est pas pour autant réglé. Où est-il sécrété ? En effet si la femme a une prostate celle-ci pèserait moins de 5 g (chez l'homme la prostate
pèse 15 à 25 g). Cette petite prostate ne pourrait donc excréter que quelques gouttes de liquide… Ou bien lors de l'excitation cette glande devrait se gonfler particulièrement… Espérons
que les recherches en cours nous éclaireront sur ce sujet !
L'éjaculat est décrit comme inodore, de goût neutre et liquide comme de l'eau. La quantité varie de quelques gouttes à 50 ml. Il ne tache pas le drap. Pendant longtemps aux Etats unis, on a opéré des femmes pour incontinence urinaire pendant l'orgasme, maintenant elles seraient diagnostiquées comme des "femmes fontaines". Doctissimo
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