Les poils pubiens sont, chez l'humain, des poils situés au niveau des organes génitaux, dans
l'entre-jambe et quelquefois en haut de l'intérieur des jambes ; cette zone forme la région pubienne. Bien que du fin duvet soit présent dans cette zone pendant l'enfance, le terme
« poils pubiens » est généralement restreint aux poils plus longs et plus épais qui se développent pendant la puberté. C'est l'effet de l'augmentation du niveau d'androgènes sur la peau
des parties génitales.
Chez la plupart des filles, les poils pubiens apparaissent aux confins des grandes lèvres, et s'étendent en avant vers le Mont de Vénus pendant les 2 années suivantes. En 3 ans de puberté (approximativement le temps d'avoir ses premières règles pour la plupart des filles), le triangle pubien se densifie. Les 2 années suivantes, les poils pubiens poussent aussi sur le bas des fesses et quelquefois quelques-uns sur l'abdomen vers l'ombilic.
Chez les garçons, les premiers poils pubiens apparaissent de manière éparse sur le scrotum ou en haut de la base du
pénis. En un an, les poils autour de la base du pénis deviennent innombrables, et en 3 ou 4 ans, les poils remplissent toute la zone pubienne. En 5 ans, ils s'étendent vers le bas des fesses et
remontent sur l'abdomen vers l'ombilic. D'autres zones de la peau sont de la même façon, mais un peu moins, sensibles aux androgènes et quelques poils apparaissent donc un peu plus tard.
Globalement, la sensibilité aux androgènes et l'apparition de poils se situent au niveau des aisselles, du périnée, de la lèvre supérieure, des mamelons, du milieu de la poitrine, du cou
sous le menton, du reste de la poitrine et de la barbe, des membres et des épaules, du dos et des fesses. Bien qu'elle soit généralement considérée comme une partie du processus de la puberté,
l'apparition des premiers poils est distincte et indépendante du processus de maturation des gonades qui mène à la maturation sexuelle et à la fertilité ...
Les poils pubiens peuvent se développer grâce aux androgènes seuls, et peuvent se développer même si les ovaires ou les testicules sont défectueux ou non fonctionnels.
Entre les hommes et les femmes, il existe une légère différence en termes de capacité de réponse aux androgènes. Le
flagrant dimorphisme sexuel en termes de distribution des poils entre hommes et femmes est d'abord le résultat de différences de taux d'androgènes atteint à la maturité.
Depuis les années 1960 il est devenu populaire de tailler ou bien d'épiler entièrement les poils pubiens dans les sociétés occidentales. Différentes cultures ont différentes
habitudes de rasage, autant que de raisons justifiant ces modifications de la pilosité. Ces modifications sont motivées par des préoccupations extrêmement multiples et intéressent des populations
diverses: modèles pour photographes des années 1920 aux années 1970, pionniers du naturisme dans les années 1930, populations méditerranéennes, adhésion à l'Islam, acteurs et actrices du cinéma
X. Elles accompagnent aussi des comportements exploratoires homo ou hétérosexuels.
L'épilation intime,
pubis et raie fessière, constitue aussi aujourd'hui un phénomène de mode pour des raisons tant esthétiques que sexuelles, ceci depuis la fin des années 1980.
Parmi les différents styles de rasages et taillages de poils les plus populaires, reviennent souvent :
L'épilation du maillot : on taille les côtés de telle sorte que rien ne dépasse du maillot de bain.
L'épilation « ticket de métro ».
L'épilation à la brésilienne qui est assez échancrée au niveau de la toison pubienne et qui conserve une mince bande de poils autour des grandes lèvres ainsi qu'un petit triangle au dessus, au niveau du pubis.
Elle est particulièrement adaptée pour le port de sous-vêtements étroits ou de taille réduite (strings, tangas, slips brésiliens, etc.) ou les maillots de bain minimalistes (bikinis, maillots de bain brésiliens, microkini, etc.).
Quelqu'un qui comme nous a une préférence pour les parties génitales, tout ou partie, dépourvues de poils
est acomoclitique.
Un extrait avec une femme brune qui préfère conserver sa toison ...
Pour les amateurs voici un deuxième exemple de toison bien fournie ...
Le Gokkun est une onomatopée japonaise équivalente à "slurp" en français. C'est une pratique sexuelle de groupe, rencontrée dans les films pornographiques, dans laquelle un groupe d'hommes éjacule tour à tour sur une personne (un homme ou une femme) qui doit ensuite avaler le sperme. Souvent confondu avec le Bukkake, la différence étant que dans ce dernier cas il n'y a pas d'ingestion de sperme.
Comme dans le cas du bukkake, divers sites pornographiques prétendent que cette pratique prendrait son origine dans le Japon féodal. Une femme qui avait trompé son mari était selon ce récit mise à genoux puis forcée de subir l'éjaculation de tous les hommes de la communauté. On ne trouve pas de confirmation de cette rumeur par des sources historiques fiables, et elle peut donc être une invention de l'industrie pornographique à des fins promotionnelles.
À l'origine, il se présentait sous la forme de vidéos réalisées par de simples particuliers, l'industrie pornographique n'ayant exploité ce marché que plus tardivement. Les films de Gokkun sont devenus très populaires au Japon. Typiquement, on retrouve la mise en scène d'une jeune étudiante japonaise (avec son uniforme) ou d'une secrétaire, étant arrosée et couverte de sperme selon ou contre son gré, dans une classe ou un bureau.
Ces dernières années, le Gokkun s'est énormément développé, tant dans le milieu des professionnels que des amateurs. Enfin, il faut savoir que le Gokkun évolue avec la société. Il n'est pas rare maintenant de rencontrer femmes ou hommes ayant ce fantasme. Le Gokkun perd alors son caractère humiliant, pour prendre la forme d'une pratique libertine pouvant être appréciée dans les milieux échangistes et gays ...
L'onomatopée japonaise "Gokkun" vient du son que l'on émet en avalant un liquide. On peut le traduire en anglais par « Gulp », en français par « Slurp ». Le Gokkun est
une pratique sexuelle à classer comme une pratique à risque contrairement au Bukkake qui lui ne n'implique pas l'ingestion du sperme ...
Première illustration avec cette une jeune fille qui pratique justement le gokkun ... Une demie douzaine de mecs lui éjacule sur les lèvres et sur le visage. Elle tient un plateau sous son
menton pour ne rien perdre de la chaude liqueur ...
Ça commence cool par des préliminaires entre deux femmes et soudainement surgissent des queues déjà toutes
raides ... Les mecs qui s'étaient branlé vigoureusement sont au bord de l'éjaculation et les filles n'ont qu'à les finir pour recevoir les giclées chaude et crémeuses qu'elle s'échangent
vicieusement avant de laper le sperme récupéré dans un plateau ...
Un petit gang bang avec une coquine qui n'est pas trop coincée ... Grignotage, fellations, léchouilles
vicieuses et pénétrations diverse au programme ... Tous les ingrédients pour porter les queues à l'éjaculation qu'elle savoure sans en perdre une goutte ...
Encore plus de queues pour recevoir plus de sperme ... Gianna Michaels est une gourmande et elle veut être aspergée partout...
Betty elle se gargarise avant d'avaler le sperme chaud ...
Mais les femmes aussi s'amusent à inonder un homme en s'accroupissant chacune leur tour sur le visage du mec allongé
... Elles se masturbent jusqu'à l'orgasme et inondent la bouche du mec qui doit les lécher avant que la suivante ne prenne la place ... Non mé! ... Y a pas de raison ... Hé!
Hé! ...
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