Parmi les nombreuses variantes dans les phantasmes et les plaisirs coquins il existe une particularité lactée. Les amateurs de femmes aux poitrines en période de lactation.
La lactation est une fonction physiologique de la femme qui se traduit par la
sécrétion de
lait par les
glandes mammaires après
la parturition.
La lactation est déclenchée et entretenue par une hormone produite par l'hypophyse, la prolactine. Elle est également entretenue par une voie réflexe nerveuse initiée par la
succion du bébé qui provoque la production dans l'hypothalamus et la sécrétion d'ocytocine. Cette neurohormone a pour effet de faire
contracter les cellules myoépithéliales mammaires permettant l'éjection du
lait et aussi de stimuler la production des protéines du lait...
Il est évident que cette particularité concerne en quasi exclusivité les femmes venant de mettre au monde leur bébé et lui donnant le sein...
Pour ces mamans les jeux lactés peuvent donc faire partie des thèmes de leurs soirées libertines et en faire profiter leurs partenaire attitrés ou occasionnels...
Voyons quelques exemples des possibilités qu'offre cette particularité laiteuse ...
Avec pour débuter une relation saphique où une femme fait jouir sa partenaire en jouant avec ses seins. La passive
ayant encore du lait elle ne s'en prive pas ...
Alors que le phénomène a longtemps fait l'objet de vives controverses, il semble aujourd'hui admis que certaines femmes éjaculent au moment de
l'orgasme. On leur a même donné un nom : les femmes fontaines.
Réaction souvent déroutante pour
elles comme pour leurs partenaires, l'orgasme s'accompagne chez certaines femmes de l'émission d'un liquide. Mais d'où vient cette substance ?
En 1950, Ernest Gräfenberg décrit une zone anatomique située sur la face antérieure du vagin : c'est le fameux point G. Selon lui, c'est cette zone qui gonfle et produit un liquide lors
de l'orgasme. Mais des travaux plus récents permettent de
mieux comprendre ce phénomène. Pour le Docteur Zaviacic qui étudie cette question depuis de nombreuses années, les femmes auraient une prostate.
Ce chercheur a en effet démontré que les tissus des petites glandes qui se trouvent entre le vagin et
l'urètre et autour de l'urètre (appellées les glandes de Skène ou glandes para-urétrales) étaient similaires à ceux de la prostate de l'homme. Et qu'ils produisaient comme chez l'homme, une
substance fabriquée naturellement par la prostate un antigène prostatique spécifique autrement appelé PSA. Devant tant de similitudes, le Docteur Zaviacic propose de rebaptiser les glandes de
Skène : prostate féminine. Cette prostate féminine correspond anatomiquement au point G.
Le problème de l'éjaculat féminin n'est pas pour autant réglé. Où est-il sécrété ? En effet si la femme a une prostate celle-ci pèserait moins de 5 g (chez l'homme la prostate
pèse 15 à 25 g). Cette petite prostate ne pourrait donc excréter que quelques gouttes de liquide… Ou bien lors de l'excitation cette glande devrait se gonfler particulièrement… Espérons
que les recherches en cours nous éclaireront sur ce sujet !
L'éjaculat est décrit comme inodore, de goût neutre et liquide comme de l'eau. La quantité varie de quelques gouttes à 50 ml. Il ne tache pas le drap. Pendant longtemps aux Etats unis, on a opéré des femmes pour incontinence urinaire pendant l'orgasme, maintenant elles seraient diagnostiquées comme des "femmes fontaines". Doctissimo
Nous vous avons trouvé comme à l'habitude quelques illustrations en images animées ...
Cytherea dans ses éjaculations féminines ...
1 |
La Boutique de Margot |
|
________________________________________ |
Blogs complices |
|
Vos Derniers Commentaires